25 mai 2011

On déborde...

   IndieGuys, est étrange et il le vaut bien. 


   L’idée au départ c’était de parler des toilettes sèches, histoire de faire un peu de propagande écologiste, dans le trip "vivons-tout-nu-dormons-dans-des-tipis-mangeons-des-fleurs", parce que en ce moment, du côté de l’opposition ça débande sévère (DSK, Villepin… Qui sera le prochain ?)

   IndieGuys aime la politique, vous l’avez sûrement remarqué, mais IndieGuys préfère la musique. Et franchement, les toilettes sèches c’est pas très excitant entre nous. Mais, on voulait pas non plus écrire un article sur le dernier album de Nolwen Leroy. (C’est ringard hein ?) Donc, on s’est dit, pourquoi pas écrire un article sur la musique aux toilettes ! Tout simplement…
Bon, si vous êtes entrain de manger, arrêtez tout de suite parce que là ON DEBORDE…
 
   
Les gens aux toilettes ils ont plutôt l’habitude de lire. Des journaux, des BD, des romans et parfois même des encyclopédies. Bref plein de conneries dans le genre. Mais pourquoi ne pas tout simplement s’écouter un peu de musique au lieu de se taper la lecture stupide et inutile du catalogue des 3 suisses. (Inutile, ça dépend pour qui vous me direz)

   Analysons donc le passage aux toilettes. Plusieurs cas de figure sont possibles bien évidement. On a sélectionné des chansons pour chaque type de « caca ».

   Le caca pressé : C’est le caca qui vous fait envie depuis le début de la journée. Le caca du stress, le caca « serre les fesses » ou le caca « liquide ». Celui qui vous fait honte auprès de vos amis parce qu’il est responsable de la fameuse phrase « T’as pété là nan ? » qu’ils vous lancent, quand, disons le franchement, vous avez lâché une grosse caisse parce que vous n’en pouvez plus de vous retenir. C’est donc aussi le caca soulagement, parce que quand vous l’avez sorti celui là, ça fait un bien fou (et ça flingue les chiottes aussi ouais) Qui dit soulagement, dit apaisement. Dit, calme, dit tranquillité. Après votre « caca pressé » il faut donc vous détendre avec une musique doucereuse.


Le caca constipé : Le pire, le caca rouge, le caca qui ne vient jamais. Vous poussez, poussez. Rien ne se passe. Vous changez de position, vous vous écartez les fesses. Rien à faire. Le pire c’est que ça fait mal. Le trou du cul en feu, la plupart du temps, vous renoncez. C’est à ce moment là que vous écoutez ça :

Ouf, plouf, enfin ! Sauf que la douleur (déjà horrible avant que ça ne sorte) devient encore plus atroce. Vos fesses ont beau avoir été mouillées par la flaque d’eau qui vous a aspergé l’anus lorsque votre caca est tombé, vous ne pouvez plus tenir. Là, vous criez CO-CO-CO-CO-CO-COCAINE parce que c’est comme si 40g de coke vous sortait du cul.


   Le caca-qui-vient-pas :
15 minutes que ça dure. Toujours rien. Non, vous n’êtes pas constipé. Vous avez envie, ça c’est sûr. Vous êtes certain que si vous vous levez et marchez quelques instants, l’envie va revenir. Mais dès que vous vous rasseyez, y’a rien qui sort. Vous pouvez donc opter finalement pour une rapide masturbation (c’est là que vous pouvez ressortir le catalogue des 3 suisses ou tout simplement écouter des chansons de Sexy Sushi et de The xx), parce que, on va pas aux toilettes pour rien MERDE !




Le caca frustré : Celui que vous n’avez pas pu maîtriser. Vous aviez juré de lire au moins la page sport de votre journal avant que ça sorte, mais vous n’avez pas pu maîtriser votre caca. Vous n’êtes pas content. Vous avez perdu un combat contre votre caca. FRUSTRATION.

                                                                



   Comme vous êtes frustré, vous lancez un cri bizarre pour exprimer toute votre rancœur. Un peu comme ce trio marginal nommé « Cheveu» Vous faites « Waaah ah ah ah ah »



   Le caca content : Ah le caca content, le fameux. C’est le caca parfait. Ni trop solide, ni trop liquide. Agréable, soulageant, ce caca là vous savez comment le maîtriser. Vous pouvez même faire durer le suspense avec lui. Tu sors, tu sors pas, tu sors, tu sors pas. Flip flop. Un caca comme on les aime qui vous fait passer un moment formidable.
Alors comme vous êtes content, vous vous faites quelques classiques trip-hop. Parce que le trip-hop, c’est flip et c’est flop.




   Bref, le caca, maintenant vous en connaissez un rayon. Bien sûr, cet article n’est pas totalement épuré. Donc si vous trouvez qu’il y a des manques et que vous voulez nous faire part de quelques unes de vos expériences personnelles dans cet endroit où nous passons tout de même plus d’un an dans notre vie, les commentaires sont bienvenus.

    Et comme dirait le grand philospohe Joel Robuchon : « Bon appétit bien sûr »

1 commentaire: